Michelle Farrell est une habituée de la famille. Elle a fait la couverture de notre édition en Slovaquie en 2018 et depuis travaille régulièrement avec des tiktokers, des acteurs… Non seulement elle a été la meilleure copine de Gwen Stefani, enfant, mais en grandissant elle a également eu la chance de connaître notre boss éternel, Hugh Hefner. Elle a beaucoup à dire (et du bien) sur la grande famille Playboy et les portes qu’elle ouvre ! C’était normal que cette femme historique chez nous finisse par apparaître au moins une fois sur notre page. À voir ses photos et son interview :
Playboy France : Qui es-tu ?
Je m’appelle Michelle Farrell, j’ai fait la couverture de Playboy Slovaquie en juin 2018. Je suis aussi manager pour des artistes, TikTokers, chanteurs, acteurs, danseurs, écrivains, et autres créateurs. Je commence aussi à faire du coaching de vie et à représenter des marques, notamment de vêtements, et j’ai ma propre ligne de vêtements vintage en consignation, Friendship Couture Fashion. J’adore chiner et je le fais chaque semaine. Voyager est ma passion, mais être maman est ma plus grande fierté. Quand j’avais 20 ans, j’ai eu la chance de connaître Hugh Hefner, qui m’appelait « maman » parce que j’avais trop peur d’enlever mes vêtements. Ha ha ha ! Mais clairement, je ne suis plus aussi timide aujourd’hui ! Pour me décrire : je suis extrêmement sociable et stylée, et mon chien, Mal Peabody, est même célèbre sur Instagram. Ha ha ! Je suis une influenceuse et chanteuse en devenir, et je crois fermement qu’on peut réaliser ses rêves à tout âge. Fun fact : Gwen Stefani était ma meilleure amie d’enfance.
Comment as-tu commencé le mannequinat, surtout le mannequinat érotique ou sensuel ?
J’ai commencé le mannequinat parce que les gens m’ont toujours dit que j’avais l’allure d’une Playmate, même dans ma vingtaine. Après mon divorce, j’ai décidé de ne plus laisser la société ou un copain me retenir. J’ai donc essayé, j’ai fait des shootings avec des photographes incroyables, et j’ai réalisé que c’était ma vocation.
Quel est ton rapport à la sexualité et à ton corps ?
Je suis très à l’aise dans ma peau. Mon poids fluctue en fonction de mon régime alimentaire et de mes activités, mais j’aime vraiment mon corps et je pense que le corps féminin est une œuvre d’art. Celui des hommes aussi, d’ailleurs.
Pourquoi as-tu voulu rejoindre la famille Playboy ?
Connaissant Hugh Hefner quand j’étais plus jeune et voyant à quel point il était gentil, tout comme les Playmates, j’ai compris que Playboy va bien au-delà de la nudité. C’est une famille, des gens magnifiques à l’intérieur comme à l’extérieur. Et pour répondre à ta question, devenir Playmate a vraiment changé ma vie. Playboy m’a ouvert des portes que je n’aurais jamais cru possibles. J’ai rencontré des tonnes de gens géniaux, y compris des célébrités qui étaient impressionnées de savoir que j’étais une Playmate. Ça m’a vraiment éclairée et touchée. Je pense aussi que les Playmates ont un certain standard à respecter, un peu comme Miss America : on est classe et sexy à la fois.
Qui sont tes inspirations, dans l’art et dans la vie ?
Ma plus grande inspiration, c’est ma mère. On est opposées sur bien des points, mais elle m’a eue très jeune alors que beaucoup lui disaient d’attendre d’être plus âgée et stable. Mais elle m’a voulue dès le premier jour. Côté célébrité, Madonna m’a toujours fascinée, surtout la manière dont elle a utilisé sa sexualité tout au long de sa carrière. Elle m’a montré qu’être une femme forte et sexy, c’est possible. Je suis définitivement une girl boss.
6.) Quels sont tes projets ?
Je me lance maintenant dans la production de films. C’est ma deuxième année au festival de Cannes, en France. J’ai d’abord travaillé sur la partie musicale d’un film franco-américain appelé Caralique, qui a inspiré le film Cruella de Disney. Le prochain film est davantage axé sur la mode, racontant l’histoire de la première femme designer à Hollywood, Diane Abramson. Je suis tellement excitée à l’idée de partager ces histoires incroyables avec le monde. Je crois que c’est ma véritable vocation, la production.
Quels sont tes rêves aujourd’hui ?
Mon plus grand rêve, c’est de réussir les entreprises que j’ai lancées. Je fais maintenant du coaching de vie, du management de collaborations, et je relance une entreprise de locations que j’avais commencée il y a des années. J’ai eu beaucoup de revers, mais maintenant je sais que rien ne peut m’arrêter, parce que j’ai la détermination et le travail nécessaire pour diriger ma propre entreprise. Je sais aussi qu’il vaut mieux avoir plusieurs entreprises plutôt qu’une seule. Je suis convaincue que tout ce que je décide d’entreprendre, je peux le réussir !
Remerciements à Becca et Only 1 media PR