Au tour d’Emma ! C’est la première à avoir fait l’effort d’accompagner ses photos et ses réponses à notre interview par des petites vidéos supplémentaires. Elle y parle même français ! À vos clics !
Playboy France : Peux-tu te présenter ? Que dirais-tu de toi à un inconnu si tu voulais qu’il sache tout de toi (tes goûts, hobbies, personnalité, lieu, âge, tout ce que tu veux partager) ?
Je m’appelle Emma. J’ai 28 ans, et je suis officiellement l’une des (si ce n’est la) seules Playmates du Danemark. Je viens de la capitale, Copenhague, et quand je ne fais pas de mannequinat, que je ne vais pas à la salle de sport ou que je ne traîne pas avec mes proches, j’adore voyager à travers le monde. Je suis complètement perdue dans le désir de voyager et je suis un peu une enfant sauvage ! J’aime être entourée d’animaux et de nature, explorer les cultures et enrichir ma sagesse en spiritualité. Quand j’ai le temps, j’adore faire des merveilles avec ma machine à coudre et dessiner des vêtements. Créer quelque chose est un énorme plaisir pour moi. Je vis à toute vitesse, et j’adore ça ! Mes hobbies préférés sont bronzer en bikini, voyager, faire du shopping et boire des skinny margaritas.
Comment as-tu commencé le mannequinat, et surtout le mannequinat érotique ou sensuel ?
Pour moi, c’est venu très naturellement. J’ai toujours admiré le corps féminin et son caractère, ainsi que le pouvoir de se sentir libre et nue ! Même à la maternelle, mes camarades et la plupart de l’école se moquaient en disant que je serais le modèle ou le personnage sensuel et érotique (ou une star de la télé-réalité, haha). Pamela Anderson, c’était mon surnom. Et séduire des hommes partout dans le monde. 😉
Quel est ton ressenti sur la sexualité et ton propre corps ?
Incroyable. Tout ce que je fais, je l’assume pleinement. J’ai un motto qui dit : « Je me sens la plus sexy quand je fais ce que j’ai dit que j’allais faire. – La discipline et l’intention, c’est le pouvoir. Et le pouvoir, c’est… le sexe ! » J’aime mon indépendance et mon pouvoir.
Pourquoi voulais-tu devenir membre de la famille Playboy ?
Come on !!! Qui parmi nous, les filles, n’a pas aimé Playboy depuis l’enfance ! Playboy était ma marque de vêtements préférée et mon logo pendant presque une décennie. Je me souviens d’une fois à Londres, à l’âge de 12/13 ans, avec ma mère pour un voyage d’affaires chez Dolce&Gabbana. J’ai insisté pour que nous allions absolument à la grande boutique Playboy là-bas. J’étais complètement époustouflée. J’aimais tout, et je voulais tout acheter. J’ai fini par repartir avec une paire de hot pants noirs et je les ai gardés pendant des années. Malheureusement, je pense que je les ai jetés parce que j’ai dû faire le tri dans mon placard. Mais il n’y avait pas d’autre choix que de devenir membre de la famille des lapins. Et j’adore absolument ça.
5/ Quelles sont tes inspirations dans l’art et dans la vie ? Parce que tu me sembles être une artiste.
Marilyn Monroe & Coco Chanel. (Et Metallica, bien sûr !!) Marilyn pour son grand cœur, son âme, son talent et sa passion. Et son audace pour ouvrir un nouveau monde pour les femmes.
Coco Chanel m’a toujours inspirée, surtout à l’époque de mes études de design de mode quand j’ai appris sur sa vie. Une femme tellement inspirante, talentueuse et forte, avec un goût formidable pour les bijoux, les sacs et les vêtements ! Metallica pour ma personnalité et mon cœur de métal.
Quelles sont tes prochaines étapes ?
Un voyage en Amérique, avec encore plus de séances photo, d’aventures et bien plus que tu pourras découvrir ! 😍 Et qui sait ce qu’autre l’Amérique a à offrir ?!
Quels sont tes rêves aujourd’hui ?
Continuer à travailler pour Playboy. Je veux développer mon centerfold et tout partager avec mes adorables abonnés et fans ! Je veux franchir des frontières et m’amuser beaucoup ! Et bien sûr, continuer à explorer toutes les parties du monde. Mon objectif de rêve est de devenir propriétaire de mon propre centre de luxe – de pleine conscience, de bien-être et de spa. J’aime nourrir le corps, l’esprit et l’âme. Et bien sûr, je rêve d’aider le monde. Surtout les animaux, les enfants dans le besoin, et les sans-abris.